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Image de Boudhayan Bardhan

THÉS D'INDE

Même s’il fallut attendre l’ambition britannique pour développer l’industrie du thé en Inde, elle reste l’une des terres d’origine du théier.

Aujourd’hui il s’agit du deuxième plus gros producteur de thé au monde.

Les thés d'Inde : qu’es aquo?

L’histoire du thé en Inde commence en 1823 lorsque le major Robert Bruce, alors employé de la compagnie des Indes Orientales, découvrit l’existence de théiers sauvage dans la région d’Assam (près de la frontière birmane).

À l’époque, le Japon avait fermé ses frontières aux échanges avec l’étranger, les longs trajets provoquaient la détérioration du thé venue de Chine à bord des bateaux, et les Chinois, ayant le monopole, imposaient des prix exorbitants à l’exportation.

Les thés d’Inde virent donc le jour à travers cette découverte, qui motiva les Britanniques à se lancer dans l’exploitation d’une nouvelle terre d’approvisionnement (avant cela, plusieurs tentatives de plantations via des semences ramenées de Chine avaient échoué par manque d’expérience).

 

Aujourd’hui, nous comptons 4 grandes régions productrices de thés en Inde.

La célèbre région de Darjeeling, réputée pour la finesse incomparable de ses thés noirs, si bien qu’il lui valut le surnom de “Champagne des thés noirs”.

La région de l’Assam, terre d’origine de la variété Camellia sinensis assamica, qui nous offre aujourd’hui des thés naturellement épicés et maltés, servent le plus souvent à la composition des thés à “saveur britannique” et des traditionnels chaï.

Il y a également la région des Nilgiri dite des “montagnes bleues” et la région de Sikkim entre le Népal et le Bhoutan dont les saveurs du thé s’apparente à celui des Darjeeling.

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